Départ à 6h30 avec 59
participants au lieu des 62 prévus. 2 personnes sont malades et Bruno s’est
décommandé.
On roule bien, et on se gare à
8h45 sur le parking des pompiers, à l’entrée de la station.
A 9h, on est équipé et prêt à
passer une des meilleures journées ski de la saison.
Comme prévu, neige fraîche
tombée le Vendredi et grand soleil.
La température est proche de
zéro degré, et le restera toute la journée.
Toutes les pistes sont ouvertes.
Idem pour les remontées mécaniques.
On peut se dégourdir les jambes,
relativement seuls, jusqu’à 11h00.
De 11h à 12h, il vaut mieux
s’arrêter pour manger, car les bonnes conditions ont ramenées des skieurs
locaux en nombre.
Comme on a déjeuné à 5h30 du matin,
cette option n’est pas ridicule.
Le français étant conditionnés
pour avoir faim dès passé midi, c’est le moment idéal pour repartir skier.
Plus d’attente aux remontées,
que ce soit côté La Mongie, comme côté Barèges.
Alors là, on se régale vraiment.
Les muscles et autres
accessoires corporels nécessaires au skieur sont chauds, la visibilité est
totale, la neige est bonne, et on n’attend plus aux remontées.
Sauf à l’unique télésiège qui
permet de revenir de Barèges, où là il faudra accepter de poireauter une
dizaine de minutes.
Tout le monde est au bus à
16h50, et bien que Jean-Louis soit le dernier arrivé, il faut reconnaitre qu’il
n’est pas le seul.
L’envie de profiter au maximum
de la journée m’a moi-même amené au bus à 16h50.
On part à 17h03, et là on aura
droit à une demi-heure de touche-touche pour traverser Campan.
Bien que le reste de la route
s’est fait à vitesse normale, nous arrivons à Thales à 20H, et le chauffeur
n’est pas très content.
Lorsque nous sortons le Dimanche,
il faudra peut-être revoir à la baisse l’heure de départ de la station (16h30),
ou à la hausse l’heure du départ le matin (7h00).
Cordialement.
François
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