La sortie
collective ayant été annulée faute de participants, nous
covoiturons, Philippe et moi, et arrivons au guichet de la station à 9h10.
Benjamin, Cécile et Pierre nous rejoignent rapidement. On attends les éventuels
retardataires, la famille GIRARD et Clément DE SEZE, qui n'ont pas annoncé de
désistement à cette sortie et sont donc susceptibles de venir. Après trois bons
quarts d’heure d’attente, il est plus que temps de se diriger vers les caisses.
Au guichet, une mauvaise surprise nous attend, « NO, NO, no aceptamos … cheque
bank ».
Après un bon quart d'heure de vaine transaction et
l'attitude psychorigide des guichetiers, on se décide à payer "one by
one" par carte bleue. La deuxième mauvaise surprise, l'annonce du prix :
47 roros. EXHORBITANT !! .. On n’a
pas le choix et on paye !
La seule bonne chose à cette caisse a été le physique avantageux
de la caissière qui a fait craquer Benjamin, ce dernier ne voulant plus sortir
du devant du guichet. En y regardant de plus près, je constate que le garçon a
du goût, mais il n’est plus l’heure d’un second « one by one » J
Ce début d’idylle attendra donc, il est 10 heures et à défaut de
tâter de la guichetière, il est plus que
temps d’aller tâter de la neige.
Bonne surprise, malgré le manque de neige les pistes
sont superbes. Sevré de ski depuis au moins un siècle, on dévale la pente à
tombeaux ouverts. Que c‘est bon !!!!!!
Philippe, dans cet élan d’inconsciente exubérance, nous
amène sur une piste débouchant à une impasse, le hors-piste est alors inévitable.
Notre mono, de l’ESF de TIGNES quand même, oui, oui, celui avec le
blouson rouge en fait les frais. Un de ses skis déclenche et il s’aplatit au
sol comme une bouse. MDR.
Le temps, qu’il se
relève, Cécile, Benjamin et Pierre ont disparu. Nous continuons notre route
jusqu’à El TARTER avant de revenir sur le PAS DE LA CASE ou une bonne
tartiflette au roquefort pour l’un, aux cèpes pour l’autre, clôturera en beauté
cette trop courte matinée. L’après-midi, même programme, même glisse, carving, carving et encore carving.
C’est très bien mais je fini par me
lasser et je craque un peu sur la fin, me risquant à faire quelques bosses en hors-piste. Autre
ski, autre technique, autre plaisir. Philippe commence à fatiguer, et d’un
commun accord on clos cette surprenante journée par une virée chez Patrick. Une
célébrité dans la principauté d‘Andorre, les connaisseurs sauront
de quoi je parle.
PS:Concernant le règlement des forfaits, un REX s’avère
indispensable, ainsi que la formulation d’un protocole de remboursement TIS.
A la prochaine
RV