lundi 6 mars 2017

CR GrandValira 04/03/17



Comme prévu, départ à 6h30 avec 25 participants.

On roule tout à fait normalement jusqu’à Ax, que l’on passe à 8h00.

Comme prévu, la neige cesse de tomber à 9h00 et le vent ne tarde pas à suivre.

Le soleil chasse progressivement les nuages, et la météo est parfaite de 11h à 15h, là aussi comme prévu.

Comme il est tombé 30 cm pendant la nuit, et que la température est négative, on ne pouvait pas trouver mieux pour skier (voir photo ci-dessous).

D’autant plus qu’il n’y a pas trop de monde, seuls les inconditionnels sont de sortie ce week-end.

Cela aussi, c’était prévu.

Comme le temps se gâte en fin de journée, tout le monde est au bus à 17h00 et on peut donc rentrer sur Toulouse, pour une arrivée à 19h00 précises sur le parking de THAV (Le chauffeur n’ayant pas hésité à appuyer sur la pédale !).

Alors vous me direz : « une journée ski comme une autre quoi, cela manque un peu d’imprévu ! »

Petit flashback à 8h00, vous vous souvenez, on vient de passer AX.

Et bien là, un semi-remorque espagnol est arrêté sur la route et tente de s’en extirper pour débloquer la circulation.

En attendant, on décide chaîner pour passer la zone en limitant les risques, puis une fois le semi rangé sur une aire d’arrêt, on peut y aller.

Un bon quart d’heure de perdu.

On roule ensuite tranquillement jusqu’à l’Hospitalet, après avoir ôté les chaînes qui étaient inutiles.

Et là, pas de chance, l’Equipement vient juste de fermé l’accès au Pas pour permettre aux artificiers de déclencher des avalanches préventives.

Ils nous demandent de chainer et d’attendre.

Ne maitrisant pas le timing, le bureau décide d’organiser un vote. Soit on se replie sur AX, soit on rentre à Toulouse.

Résultat, une petite majorité pour AX.

Pour ne pas prendre de risques, on décide de monter en télécabine.

Loupé, le temps qu’on s’équipe, il tombe en panne. Plus d’un demi-heure d’attente !

Heureusement qu’il fait beau et qu’on peut discuter en patientant.

On arrive enfin au pied des pistes, il est 11h20.

Alors là, c’est non-stop tant qu’on peut se passer de manger, pour profiter des très bonnes conditions qu’on a méritées, et rattraper le temps perdu.



François



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